Ce ne seront jamais ces beautés de vignettes, Produit avarié d'un siècle vaurien, Ces pieds à brodequins, ces doigts à castagnettes, Qui sauront satisfaire un coeur comme le mien. Je laisse a Garvani, poète des chloroses, Son troupeau gazouillant de beautés d'hopital, Car je ne puis trouver parmis ces pâles roses Une feur qui ressemble a mon rouge idéal.
Dernière modification : 05/04/2006 20:43:06 |