Je ne sais qu’elle peut être l’heure, Mais je sais qu’il est temps que je pleure, Les larmes qui noient mon cœur. En effet je connais l’horreur. L’horreur de cette splendeur Qui par tant de bonheur, Ma détruit en profondeur. Aujourd’hui c’est sa perte que je pleure, Elle qui est partie de si bonne heure, A peine avait-elle conquit mon cœur, Qu’elle m’avais transmit cette douleur. A jamais je connais ce malheur, Qui fait que chaque jour je meurt. Aucun de tout ces guerriseurs, Ne pourra faire revivre cette fleur.
Dernière modification : 28/06/2006 04:36:32 |